Fighting spirit : apprenez à développer votre esprit de combativité !

Fighting spirit : apprenez à développer votre esprit de combativité !

Vous manquez de détermination pour concrétiser vos projets lorsque les premiers obstacles apparaissent ? Vous devenez vite défaitiste quand les choses se corsent ? Si vous en avez marre d’abandonner à la moindre difficulté et de ne jamais parvenir à vous transcender pour réaliser vos rêves ou remplir vos objectifs, il est temps de développer votre fighting spirit. En effet, la vie ne sera pas toujours clémente et vous offrira peu d’autoroutes vers le succès. C’est même le contraire ! Que ce soit au travail, à la maison, au sport ou ailleurs, vous ferez souvent face à des épreuves ardues. Vous devrez donc lutter pour traverser ces dernières.

Ainsi, comme le chemin vers la réussite est rarement un long fleuve tranquille, avoir un esprit de combativité s’avère crucial pour se sortir de situations compliquées et triompher quand les chances sont infimes. Vous ne vous sentez pas encore capable d’adopter cette attitude de guerrier ? La bonne nouvelle, c’est que vous avez ce super-pouvoir au fond de vous. Il faut juste apprendre à le libérer et à le développer pour vous en servir à bon escient dans vos activités professionnelles, personnelles ou sportives. Comment renforcer son fighting spirit ? Décryptage.

Qu’est-ce que le fighting spirit ?

Qu’est-ce que le fighting spirit ?

Le fighting spirit est un état d’esprit de combattant qui pousse à se transcender pour exceller dans un domaine, triompher dans une bataille, vaincre un adversaire ou surmonter de grandes difficultés. Mélange de détermination, d’engagement, de persévérance, de ténacité, de résilience, d’aplomb, de courage et de sacrifice, cette énergie de survie forme davantage une attitude de gagnant qu’un esprit de compétition. Il n’y a donc aucune volonté d’agressivité. On retrouve d’ailleurs quelques similitudes avec le bushido, le code moral des samouraïs, dont le nom japonais se traduit par « la voie du guerrier ».

De manière plus concrète, le fighting spirit se matérialise par le petit effort supplémentaire que l’on décide de réaliser pour se propulser à un niveau supérieur. C’est par exemple :

  • la série d’abdos que l’on va faire en plus à l’entraînement ;
  • l’accélération dans la dernière ligne droite alors que l’on est au bout de ses forces,
  • l’appel de prospection que l’on va passer en plus après une longue journée de démarchage ;
  • la candidature que l’on va envoyer alors que les 20 précédentes n’ont abouti à rien ;

Vous l’aurez donc compris : que ce soit au travail, en sport ou dans n’importe quelle sphère de la vie quotidienne, ceux qui possèdent cette capacité de gladiateur ne se laissent pas décourager par l’adversité, ne lâchent rien, ne s’avouent jamais vaincus et vont de l’avant quoiqu’il arrive pour remplir leurs objectifs, aussi ambitieux soient-ils. Au lieu de se lamenter face aux échecs et aux difficultés, ils agissent, réagissent, sortent de leur zone de confort et prennent des risques pour réussir. Bref, ils ont la niaque !

D’ailleurs, plus les défis sont grands, plus ils choisissent d’en faire un peu plus pour transformer les obstacles en opportunités. Même quand l’espoir est infime, ces individus continuent donc à se battre, à s’accrocher et à se relever pour réaliser des miracles (qui n’en sont finalement pas). Grâce à cet esprit de combativité, ils prennent conscience de leur potentiel pour faire taire leurs croyances limitantes et surtout croire en eux. Ils parviennent alors à surpasser leurs doutes et à dépasser leurs limites pour :

  • briser leur plafond de verre ;
  • déjouer les pronostics ;
  • réaliser de grandes prouesses.

L’esprit de combativité, c’est inné et uniquement dans la tête ? Pas vraiment !

Deux énormes clichés existent à propos du fighting spirit. Le premier, c’est que l’esprit de combativité serait un trait de caractère inné et exclusif à certaines personnes. Par exemple, ce tempérament de guerrier est systématiquement associé aux Irlandais dans le monde du sport. Notamment aux rugbymans qui obtiennent de superbes victoires collectives en luttant ensemble jusqu’au bout même si le match est mal engagé, les difficultés sont grandes, les chances sont minimes ou les événements extérieurs ne sont pas favorables. C’est certes vrai, mais être animé par le fighting spirit n’est pas réservé aux natifs du pays celte ou à d’autres individus spécifiques. N’importe qui peut acquérir ce super-pouvoir et le développer pour exploiter son potentiel !

La seconde affirmation totalement fausse concernant le fighting spirit, c’est que ça se passe uniquement dans la tête. Si vous pensez qu’il suffit d’avoir un mental d’acier pour posséder cette faculté, détrompez-vous ! Bien plus qu’un état d’esprit de combattant, le fighting spirit est une énergie brute qui nous maintient au cœur de l’action et nous empêche de renoncer quand l’on perd un peu l’inspiration, le plaisir, l’intuition, la passion, le feeling, la technique, la force, etc. Comme la plupart des énergies humaines, le fighting spirit repose donc sur trois batteries : le physique, le mental et les émotions. Il est ainsi aussi bien activable par le corps et les émotions que par le cerveau. De ce fait, si l’on pêche mentalement, on peut compenser avec de bonnes aptitudes physiques ou une bonne capacité à gérer ses émotions pour continuer à se battre et provoquer la réussite.

Comment renforcer son fighting spirit au quotidien ?

Maintenant que nous avons clarifié ce qu’est le fighting spirit et mis en lumière le fait qu’il peut se travailler quand on a du mal à l’exprimer, il est temps d’apprendre à muscler cette attitude de guerrier. Voici les 4 préceptes à suivre pour renforcer son esprit de combativité.

Se lancer des défis pour repousser ses limites

Développer son fighting spirit, c’est d’abord une affaire de conditionnement. Pour renforcer son esprit de guerrier, il faut donc le travailler au quotidien dans chaque sphère de son existence. Sur le plan professionnel, c’est d’autant plus vrai quand on a compris que le business est un sport de combat. Ainsi, que ce soit au boulot, au sport ou dans n’importe quelle activité, lancez-vous régulièrement des défis ! Relever des challenges et en faire toujours un peu plus que prévu vous aidera à réaliser que votre potentiel est plus grand que ce que vous pouvez imaginer.

Davantage conscient de l’étendue de vos capacités grâce à l’accumulation de succès (même petits), vous vous sentirez un peu comme un super-héros. Vous prendrez confiance en vous et deviendrez galvanisé pour triompher. Toutes les conditions seront alors réunies pour vous permettre de vous battre jusqu’au bout et de repousser vos limites malgré les obstacles sur votre chemin. Bref, le développement du fighting spirit repose sur la volonté d’essayer. La tentative est plus importante que le résultat. Par exemple, quel que soit le verdict final, un avocat se forgera plus facilement un état d’esprit de gagnant en acceptant de défendre un client :

  • dans un dossier complexe ;
  • lors d’un procès médiatique ;
  • si la partie adverse est représentée par l’un de ses meilleurs confrères ;

Sortir de sa zone de confort pour apprendre à dompter son stress

Sortir de sa zone de confort pour apprendre à dompter son stress

Your comfot zone

Le stress est l’un des principaux moteurs de la combativité. Si vous voulez renforcer votre fighting spirit, il faudra donc apprendre à surmonter la pression. Pour cela, le meilleur entraînement sera de sortir de votre zone de confort. En effet, quand l’on fait face à l’inconnu ou à un moment délicat, le corps et l’esprit se mettent en alerte pour se préparer à gérer la situation. Le trac peut alors conduire à trois réactions instinctives :

  • la fuite ;
  • l’inhibition ;
  • l’attaque.

Chez les personnes habituées à se lancer des défis, le niveau de courage a été renforcé. L’adrénaline agit sur eux comme un coup de fouet extrêmement stimulant pour avancer. Ces individus sont donc prêts à se battre. De ce fait, si vous prenez l’habitude de vous challenger, vous parviendrez plus facilement à dompter votre stress pour choisir l’option de la lutte… et muscler petit à petit votre fighting spirit.

Clarifier sa cible pour booster son engagement

Avant de pouvoir, il faut vouloir ! Quand on n’est pas motivé par ce que l’on fait, il est très compliqué de libérer son fighting spirit, car la flamme du winner est totalement éteinte. Même si l’on a appris à repousser ses limites et à dompter son stress, il reste difficile de donner tout ce que l’on a dans le ventre pour atteindre le succès. Par conséquent, si vous souhaitez réveiller le combattant qui sommeille en vous, faites en sorte de toujours viser des objectifs engageants sur les plans physique, mental et émotionnel. Qu’attendez-vous réellement ? Que cherchez-vous à éviter ? Pourquoi est-ce si important ? Les réponses à ces questions doivent vous donner la rage de vaincre !

Dans cette optique, les deux éléments clés seront le sens et la clarté. En effet, en ayant un but ou une vocation qui vous parle et que vous pouvez parfaitement visualiser, vous aurez l’impression d’être en mission. Comme vous avez déjà musclé votre détermination en vous lançant des défis, en sortant de votre zone de confort et en vous habituant au « toujours un peu plus », le fighting spirit sera soutenu. Vous pourrez donc vous recentrer et vous concentrer sur l’essentiel pour obtenir le résultat que vous espérez. Dans le cas contraire, vous manquerez de ténacité et le poids des efforts finira par l’emporter pour vous pousser à l’abandon. Au lieu de libérer votre esprit de combativité, vous adopterez alors une attitude de défaitiste.

Trouver un appui externe pour soutenir son fighting spirit

Le fighting spirit est puissant pour renverser des montagnes, mais il puise énormément dans les batteries physique, mentale et émotionnelle. Si l’on veut le solidifier et le conserver durablement, il est donc nécessaire de trouver un appui externe. Lorsque l’on travaille en équipe, les coéquipiers jouent ce rôle de soutien. Les membres du groupe se portent les uns les autres pour faire face à l’adversité. En agissant ainsi, ils se galvanisent entre eux et comprennent très vite que les réalisations collectives peuvent devenir incroyables. À titre d’illustration, l’histoire du sport regorge d’exemples où une équipe supposée moins forte a fait mentir les pronostics grâce à un esprit de combativité boosté par une énorme solidarité entre les joueurs.

Si vous êtes seul face à vos objectifs professionnels, sportifs ou personnels, la meilleure option pour trouver un appui est de faire appel à une personne extérieure comme un coach ou un entraîneur. Pour soutenir votre fighting spirit et vous rendre combatif à long terme, ce spécialiste vous aidera à :

  • apprivoiser l’adversité ;
  • gérer la confrontation au risque ;
  • contrôler vos pensées et vos émotions ;
  • faire sauter vos croyances limitantes ;
  • utiliser votre énergie de la bonne manière (notamment dans les moments clés) ;
  • prendre la pleine mesure de vos exploits, du chemin parcouru et de votre potentiel.

Fighting spirit : le mot de la fin

Cet article vous a plu ? Si vous souhaitez vous faire accompagner pour développer votre fighting spirit et pouvoir l’exprimer au quotidien dans vos activités professionnelles, personnelles et sportives, Moortgat Énergie est à votre service. Alors, contactez-nous pour en discuter ! Par ailleurs, si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre pote

5 rounds pour prouver que le business est un sport de combat !

5 rounds pour prouver que le business est un sport de combat !

Teddy Riner ferait-il un bon businessman ? Y a-t-il l’étoffe d’une grande entrepreneuse chez Estelle Mossely ? Sans connaître personnellement ces deux champions, c’est plutôt difficile à dire. En revanche, avec des titres mondiaux et olympiques à leurs palmarès, il ne fait aucun doute que le judoka et la boxeuse ont des compétences de très haut niveau en matière de combat. Ça tombe bien, le monde des affaires ressemble énormément à ce qu’il se passe sur un ring ou un tatami. Vous ne voyez pas les similarités ? Ces 5 rounds vous prouveront que le business est un sport de combat !

Round 1. Comme les combattants, les entrepreneurs ont besoin d’objectifs engageants

Comme les sports de combat, le business est énergivore sur les plans physique, mental et émotionnel. Ne pas savoir ce que l’on vise réellement est donc dangereux. En avançant dans le brouillard, on s’éparpille et on s’épuise. À moins d’un exploit ou d’un coup de chance, on se dirige alors directement vers la défaite.

Pour éviter cela, les combattants choisissent minutieusement leurs objectifs. Ils ciblent ceux qui vont booster leur engagement au maximum. Par exemple :

  • gagner une ceinture ;
  • remporter une médaille olympique ;
  • vaincre un adversaire en particulier ;
  • accéder à un meilleur classement ;
  • battre un record ;
  • obtenir un certain ratio de victoire sur l’année ;
  • améliorer certaines compétences techniques ou comportementales

En business, c’est la même chose ! Avant de partir à l’assaut, il faut définir avec précision ce que l’on cherche à atteindre pour ensuite sélectionner les bons objectifs. En faisant cela, un businessman ou une businesswoman aura alors plus de facilité à concentrer son énergie pour arriver à ses fins lors de ses prochains combats en affaires.

Round 2. Combat ou business, une préparation et une discipline similaires

Combat ou business, une préparation et une discipline similaires

Combat ou business, une préparation et une discipline similaires

S’il veut gagner, un combattant doit se préparer techniquement, tactiquement, physiquement, mentalement et émotionnellement avant de monter sur le ring, fouler le tatami ou entrer dans la cage. Pour s’engager dans de telles circonstances, il doit également soigner tout ce qui va le mettre dans des conditions optimales de performance (sommeil, alimentation, routines, etc.). Cet entraînement complet et cette discipline lui apporteront alors un équilibre entre force, souplesse, endurance, tonicité et agilité pour battre ses adversaires.

Sur ce point, le business est un sport de combat à tous les niveaux. La concurrence est féroce. Avant de se lancer dans quoi que ce soit, un entrepreneur doit donc s’armer s’il veut remplir ses objectifs. Ainsi, il a tout intérêt à :

  • analyser son environnement, ses forces, ses faiblesses, ses concurrents, etc. pour comprendre où il met les pieds ;
  • élaborer une stratégie claire et solide pour atteindre le succès ;
  • développer les compétences nécessaires pour réussir dans son domaine ;
  • trouver des routines et une discipline qui lui permettent d’augmenter son niveau de performance ;
  • s’entraîner à maîtriser ses batteries d’énergie physique, mentale et émotionnelle pour rester au top aussi bien dans sa tête que dans son corps.

Lors des rendez-vous d’affaires, on voit d’ailleurs tout de suite ceux qui ont bossé en amont pour triompher. Ils connaissent par cœur leurs dossiers ainsi leur esprit est clairement orienté vers le besoin client, ils savent rebondir, ils transmettent la bonne énergie, ils ont une posture convaincante, ils semblent avoir confiance en eux, etc. Bref, ils sont prêts à combattre et font le même effet que Mohamed Ali qui « vole comme le papillon, pique comme l’abeille » ! Rien ne garantit totalement le succès, mais tout est en place le jour J pour le provoquer et l’accueillir.

Round 3. En matière d’endurance et d’efficience, le business est un sport de combat

Dans les sports de combat, chaque seconde compte. On ne peut pas tergiverser. Et  même si le temps est compté, il peut sembler long tant la dépense d’énergie est énorme. Il faut donc être le plus efficient possible. Imaginez-vous par exemple à devoir affronter David Douillet en judo pendant 5 minutes. Comme il est peu probable que vous le mettiez par terre en 10 secondes, votre meilleure option est d’optimiser votre énergie pour tenir la distance en attendant le bon moment pour prendre votre chance. Votre capacité à rester endurant et à gérer votre temps sera donc la principale clé de votre (éventuelle) victoire.

En business, le principe est identique  ! Si vous voulez connaître le succès à long terme, il faut maîtriser votre énergie dans le temps pour être le plus efficient possible. Vous serez alors en mesure de vous battre durablement et de contrôler le tempo pour défendre, attaquer, riposter, surprendre, etc. au moment opportun. Bref, dans le monde des affaires, l’endurance est cruciale pour :

  • agir au moment le plus opportun ;
  • travailler de manière productive sur une longue période ;
  • rester efficace sans s’épuiser inutilement ;
  • et donc engranger les petites victoires successives qui feront les grandes victoires plus tard !

 

Round 4. La concentration, une faculté de combattant et de businessman

En sport de combat, chaque action doit être un risque calculé. Que l’on cherche à esquiver ou à mettre des coups bien placés, il est primordial de savoir lire son adversaire, d’anticiper les mouvements de l’autre et de réagir rapidement. Pour faire les bons choix, s’adapter à la situation et changer de tactique si besoin, il faut alors posséder un niveau de concentration élevé et savoir se mettre dans cet état optimal sur commande. Il suffit en effet d’un moment d’inattention ou d’impulsivité pour tout perdre. À l’inverse, on peut mettre dans le mille si l’on est focalisé sur l’instant présent.

Dans le monde professionnel, on retrouve les mêmes ingrédients :

  • un environnement qui change ;
  • une concurrence qui évolue ;
  • des innovations qui transforment ;

Face à ce constat, il est clair que le business est un sport de combat. La capacité à rester focus sur notre marché tout en surveillant  ce qu’il se passe autour de soi est effectivement essentielle pour prendre des décisions éclairées, adapter sa stratégie et gagner en compétitivité. Elle maximise les chances de succès, tout en réduisant les risques d’échecs !

Round 5. La résilience, le super-pouvoir des combattants partagé par les hommes et femmes d’affaires

La résilience, le super-pouvoir des combattants partagé par les hommes et femmes d’affaires

La résilience, le super-pouvoir des combattants partagé par les hommes et femmes d’affaires

Dans les sports de combat, les coups, les blessures et les défaites font partie de la carrière des athlètes. Durant un affrontement, il faut encaisser les attaques, se relever après être tombé et rebondir pour retourner la situation. Suite à un revers, il faut faire le dos rond pour digérer, se remobiliser après avoir intégré l’échec et continuer à se battre pour se relancer. Eh oui, tout ce qui ne tue pas rend plus fort ! Même mis K.O., on finit par se remettre en selle avec la rage de vaincre. Cette capacité à renaître de ses cendres pour repartir au combat porte un nom : la résilience. Et c’est probablement le plus grand super-pouvoir des pratiquants de boxe, de MMA, d’arts martiaux, de lutte ou de sumo !

Dans le monde des affaires, on retrouve la nécessité de posséder cette faculté de gladiateur. C’est une nouvelle preuve que le business est un sport de combat. Les entrepreneurs et toutes les personnes qui gèrent une activité doivent notamment se montrer résilients face aux échecs, aux difficultés, aux crises et aux moments de tension. Ainsi, après avoir subi la tempête, ils apprennent de leurs erreurs et continuent à avancer… avec plus de combativité, de confiance, de courage, d’audace et de dépassement de soi. Dotés d’un caractère de battant renforcé et d’une meilleure capacité de self-défense, ils sont alors encore plus armés pour réussir à affronter les combats à venir sur le plan professionnel.

Le business est un sport de combat : le mot de la fin

Vous connaissez la dernière similarité entre le business et les sports de combat ? Les coachs ! Alors, si vous désirez performer dans le monde des affaires autant que Clarisse Agbégnénou ou Tony Yoka dans leurs disciplines respectives, prenez un entraîneur ! Chez Moortgat Énergie, nous vous accompagnerons via des outils de coaching sportif d’élite. Parlons-en ensemble !

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Pourquoi faut-il rester actif dans la vie ? Parce que le travail, c’est la santé !

Pourquoi faut-il rester actif dans la vie ? Parce que le travail, c’est la santé !

À votre avis, qui est sorti le plus rincé des périodes de confinement durant la crise sanitaire de Covid-19 ? Les individus qui ont choisi de rester assis des journées entières devant Netflix ? Ceux qui se sont mis à faire de la cuisine ou du sport à domicile ? Les premiers, évidemment ! Plus l’on reste inactif physiquement, mentalement et émotionnellement, plus l’on a tendance à ramollir et à s’épuiser rapidement. À l’inverse, en stimulant le cerveau et en provoquant du mouvement, le travail est bénéfique pour la tête et l’organisme. Si l’on gère intelligemment sa dépense énergétique, exercer une activité physique et intellectuelle favorise donc la construction et l’entretien d’un esprit sain dans un corps sain. Bref, pourquoi rester actif ? Parce que le travail, c’est la santé ! Décryptage.

Ne rien faire, c’est plus épuisant pour le corps et la tête que rester actif !

Pour rester en forme, la paresse et l’oisiveté ne sont pas nos meilleurs amis. Les positions assises et allongées non plus. Quand nous passons de longs moments sans rien faire (ni bouger, ni réfléchir, ni traiter ses pensées positives ou négatives, ni autres), nos facultés physiques, mentales et émotionnelles s’affaiblissent. Comme un bras dans le plâtre, elles perdent en force, en souplesse et en endurance avec l’inactivité. Rendant vulnérable, cette dégradation met alors la santé en danger. Les risques de ce manque de sollicitation sont notamment :

  • des douleurs musculaires et articulaires ;
  • de nombreuses maladies ;
  • des essoufflements et des problèmes respiratoires ;
  • du surpoids voire de l’obésité ;
  • des troubles de la mémoire ;
  • une baisse de la capacité de raisonnement, de concentration ou de créativité ;
  • du stress et de l’anxiété ;
  • un bore-out ;

Le travail et la pratique régulière d’une activité ont l’effet inverse. En se mettant en mouvement (même avec une intensité modérée), on muscle ses ressources physiques, mentales et émotionnelles. Ensemble à leur top, ces trois piliers de l’énergie interne permettent :

  • de garder un maximum de fraîcheur dans sa tête ;
  • d’éviter les dépressions ;
  • de faire du renforcement musculaire ;
  • de maintenir sa condition physique ;
  • de s’assurer une santé de fer.

Ils favorisent donc une mise en œuvre optimale des capacités personnelles pour mener une vie pleine, épanouissante et probablement plus longue. Eh oui, nous parlons d’optimisation de l’espérance de vie ! C’est pourquoi il est si important de rester actif avec des stimulations et un peu de gymnastique  !

Être actif et bouger régulièrement, c’est excellent pour la santé physique et mentale !

Quand on lui propose de l’exercice physique et des activités d’endurance avec assiduité, le corps développe une incroyable capacité de résilience. Il apprend à encaisser, envoie des signaux pour indiquer qu’il atteint ses limites (courbature, crampes, etc.), s’habitue progressivement aux efforts, se transforme pour gagner en résistance et décuple sa faculté à se régénérer. En clair, il devient plus intelligent, plus fort, plus souple, plus endurant, plus tonique et plus énergique pour nous maintenir en bonne santé.

En ce sens, le travail, le sport, la pratique d’une activité physique régulière et tout ce qui provoque du mouvement (marcher, faire le ménage, bricoler, cuisiner, jardiner, etc.) contribuent au bien-être corporel. Se déplacer, faire son jogging, s’étirer et réaliser quelques gestes entraîne les muscles, les articulations et les organes (cœur, poumon, etc.). Sur le plan de la santé mentale, bouger libère par ailleurs des endorphines pour s’apaiser, relâcher la pression, moins cogiter et se sentir beaucoup mieux dans sa tête. Ce qui n’est certainement pas le cas lorsqu’on manque d’activité physique.

Vous l’aurez donc compris : les habitudes mobiles sont à privilégier aux comportements sédentaires (exemple : prendre son vélo plutôt que sa voiture ou les escaliers plutôt que l’ascenseur). De nombreux experts, dont l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le disent : en matière de bienfaits, rester actif physiquement et dépenser de l’énergie chaque jour permet notamment :

  • d’améliorer la circulation sanguine, le fonctionnement articulaire et la respiration ;
  • de prévenir le développement de maladies cardiovasculaires, de maladies osseuses, d’hypertension artérielle, de diabète, de cholestérol, de cancer du côlon, de cancer du sein, etc. ;
  • de réduire le risque de stress, d’anxiété et de dépression ;
  • de brûler des calories pour conserver son poids de forme ;
  • de maîtriser sa masse musculaire ;
  • d’équilibre sa posture ;
  • de garder sa mobilité et son autonomie ;
  • d’améliorer son sommeil ;
  • d’aider à arrêter de fumer ;

Travailler permet d’activer ses neurones… et c’est très bon pour la santé !

Image neurone en activité

Rester actif stimule le cerveau. C’est pour cela que l’on conseille tant aux retraités de maintenir une activité physique et se trouver de nouveaux projets excitants à la fin de leur carrière, tels que :

  • s’impliquer dans une association ;
  • participer à la politique locale ;
  • faire du mentorat ;
  • apprendre quelque chose (photographie, instrument de musique, cuisine, etc.) ;
  • préparer un voyage ;
  • faire du sport ;

Tant que l’on prend du plaisir à se mettre à l’œuvre et que l’on ne subit pas la situation, conserver un mode de vie actif constitue d’ailleurs une vraie thérapie pour la santé mentale, puisque cela aide à :

  • lutter contre l’ennui ;
  • donner un sens à sa journée (voire à son existence) ;
  • garder des liens sociaux ;
  • se distraire pour sortir des problèmes du quotidien.

Mais revenons à nos moutons ! Plus l’on se met en mouvement et plus l’on fait marcher ses neurones, plus l’on se maintient en alerte intellectuelle (c’est évidemment l’inverse quand l’on manque d’exercice mental). L’effet boule de neige est alors fantastique à long terme :

  • on retient mieux les informations ;
  • on apprend plus vite ;
  • on développe ses compétences ;
  • on se sent plus légitime ;
  • on renforce son estime de soi ;
  • on booste sa confiance ;
  • et on tend à devenir plus heureux.

Bref, outre éviter de devenir Alzheimer, on est surtout beaucoup mieux dans sa tête et dans ses baskets grâce au travail. Plus vif, plus solide et plus flexible mentalement, on devient aussi plus résilient pour faire face aux moments difficiles. C’est donc encore un énorme bénéfice pour le bien-être personnel. Surtout quand on sait à quel point avoir une bonne santé mentale est important pour maintenir sa santé physique !

Le travail, c’est la santé… mais bosser comme un forcené, certainement pas !

Le travail, c’est la santé… mais bosser comme un forcené, certainement pas 

« Le travail, c’est la santé. Rien faire c’est la conserver… » : étant donné les bienfaits de l’activité physique et du travail que l’on vient de démontrer, on ne va pas suivre la chanson d’Henri Salvador en faisant une apologie de la paresse. Par contre, on va nuancer. Sur le niveau d’activité sportive, professionnelle, domestique ou même ludique, tout est effectivement une question de dosage.

Ainsi, bosser comme un forcené dans un environnement toxique n’est pas le conseil donné dans cet article. Griller son énergie n’importe comment non plus ! Même si le travail et l’exercice peuvent être des alliés précieux pour la santé, ils fatiguent le corps et le cerveau sur la durée. Et puisque l’organisme fonctionne comme une batterie, il a besoin de pauses entre les périodes actives, de soin et de gestion intelligente pour ne pas tomber à plat.

En tant que super-héros du quotidien, soyez donc aussi efficient qu’un marathonien pour optimiser vos efforts. En revanche, tant que les conditions sont réunies (bonne qualité de vie au travail, batteries rechargées, sécurité assurée, etc.), il faut évidemment rester actif et lutter contre la sédentarité. Vous lever le matin pour travailler vous maintiendra plus en forme que rester allongé toute la journée au fond de votre lit devant un écran.

Sans oublier que si l’on prend le travail au sens strict d’activité professionnelle, c’est aussi le moyen de vous assurer une source de revenu stable pour subvenir à vos besoins et ceux de votre entourage. La sécurité financière réduisant le stress, vous diminuerez alors de facto les risques de problèmes de santé liés à l’anxiété.

Pourquoi rester actif ? | Le mot de la fin

Cet article vous a plu ? Si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel. Si vous recherchez un accompagnement ou du coaching pour rester actif au quotidien sans tomber dans la paresse ou la procrastination, et ainsi favoriser votre bonne santé physique et mentale, parlons-en directement ensemble !

Est-ce bon pour moi ? | Pas toujours simple de différencier vitamines et toxines !

Est-ce bon pour moi ? | Pas toujours simple de différencier vitamines et toxines !

« Canada Dry est doré comme l’alcool, son nom sonne comme un nom d’alcool… mais ce n’est pas de l’alcool. » Ce slogan publicitaire est l’analogie parfaite pour décrire le fait qu’une chose ou une personne ressemble à une autre… sans en avoir les propriétés. Dans la vie quotidienne, cette confusion est problématique. En effet, il n’est pas toujours facile de distinguer ce qui nous fait du bien de ce qui nous nuit. Bon ou mauvais : la frontière est parfois mince. D’un côté, nous avons les vitamines. De l’autre, nous retrouvons les toxines.

Outre le fait que la sensibilité de chacun est variable par rapport à ces deux éléments opposés, il y a surtout une sorte de zone grise qui complique la donne. En changeant le dosage, une vitamine peut se transformer en poison et une toxine devenir un booster. Vous êtes perdu face à cet imbroglio ? Pas de panique ! Après avoir lu cet article, vous y verrez plus clair pour répondre à la question « Est-ce bon pour moi ? »

Qu’est-ce qu’une vitamine ?

Par définition, une vitamine est un micronutriment dont l’organisme a besoin à petites doses pour fonctionner correctement. Au sens strict du terme, il s’agit donc d’un élément organique indispensable pour rester en bonne santé physique, mentale et émotionnelle. Actives et vitales, les vitamines n’ont pas de valeur énergétique. En revanche, même si elles n’apportent pas de calories, elles contribuent chacune quelque part à la production d’énergie. De plus, aucune ne peut se substituer à une autre. Elles ont toutes une fonction précise pour nous maintenir en équilibre. Elles peuvent par exemple aider à :

  • renforcer le système immunitaire ;
  • favoriser la croissance ;
  • réparer des tissus endommagés ;
  • améliorer la concentration, la mémoire et la capacité de réflexion ;

De ce fait, quand on se demande « Est-ce bon pour moi ? » à propos d’une vitamine, la réponse est oui… si le dosage est adéquat. Un surplus ou une insuffisance d’un de ces micronutriments peut en effet gêner le mécanisme et mettre en péril l’équilibre vital. Une carence ou un excès en vitamine peut par exemple conduire à :

  • de la fatigue ;
  • des faiblesses musculaires ;
  • des pertes de mémoire ;
  • des maux de tête ;
  • des problèmes articulaires ;
  • des nausées ;
  • des bouffées de chaleur ;
  • des sautes d’humeur ;

Ça, c’est pour la partie scientifique pure ! Les fameuses vitamines A, B, C, D, E, K et U ! Maintenant, nous pouvons aussi voir les vitamines d’un point de vue plus figuratif. Venant de l’extérieur (encouragements, conseils, etc.) ou générées par soi-même (dépassement de soi, positivité, etc.), certaines attentions, attitudes et actions nous font du bien. En quantité raisonnable, ces comportements nous aident alors à réguler notre corps, notre esprit et nos émotions. Ils ont donc le même effet que les micronutriments.

Qu’est-ce qu’une toxine ?

Qu’est-ce qu’une toxine ?

Par définition, une toxine est une substance chimique créée par un organisme vivant (bactérie, champignon vénéneux, insecte, serpent venimeux, etc.) qui s’avère nocive pour d’autres êtres vivants. Pour faire simple, c’est un poison dont il faut s’éloigner à tout prix sous peine de sérieux dommages. Quand on se demande « Est-ce bon pour moi ? » à propos d’une toxine, la réponse est donc non !

Sur le plan physique, ces éléments toxiques affectent la santé en étant à l’origine de maladies ou d’un dysfonctionnement de certains organes. Au niveau mental, ils entraînent des troubles cognitifs (problèmes de mémoire, de concentration, de perception, de capacité de réflexion, etc.). Enfin, concernant le côté émotionnel, les toxines occasionnent des sautes d’humeur, des comportements inappropriés, de l’anxiété, de la dépression, etc.

Comme pour les vitamines, les toxines peuvent également être vues de manière figurative. Nous parlons ici des comportements toxiques qui nuisent à notre santé ou notre bien-être. Parmi ceux-ci, nous retrouvons entre autres :

  • la manipulation ;
  • le contrôle ;
  • la violence physique ou verbale ;
  • l’intimidation ;
  • la discrimination ;
  • la jalousie ;
  • le manque d’empathie ;

Généralement, la personne toxique fait partie de notre environnement. Pour protéger sa santé mentale, physique et émotionnelle, il faut donc s’en éloigner. La subtilité, c’est que l’on peut devenir soi-même cet individu néfaste. En effet, on finit souvent par se saboter et se faire du mal quand l’on adopte des attitudes trop dures ou trop laxistes envers soi, tels que le perfectionnisme, la dévalorisation, la procrastination, la négligence de ses besoins ou encore la consommation régulière d’alcool, de tabac, de drogues, de malbouffe et même d’informations anxiogènes.

Est-ce bon pour moi ? La réponse n’est pas toujours la plus évidente !

Au quotidien, certaines choses peuvent avoir l’apparence de toxines, mais sont en réalité des vitamines, et vice versa. La différence est aussi confuse que celle entre le bon et le mauvais chasseur ! Finalement, c’est comme dans l’alimentation : il y a le mauvais gras et le bon gras, le mauvais cholestérol et le bon cholestérol, le mauvais sucre et le bon sucre… mais c’est parfois difficile de s’y retrouver. Pour vous aider à mieux appréhender la question « Est-ce bon pour moi ? », voici donc quelques illustrations !

Exemples de toxines comme vitamines

De manière générale, le stress et le recadrage sont perçus comme des toxines. Ce n’est pourtant pas toujours le bon diagnostic. Le stress peut conduire effectivement à des soucis physiques, mentaux et émotionnels (toxine), mais le stress rend aussi plus vigilant, énergique et performant (vitamine). Par exemple, les plus grands champions sportifs ressentent la pression, mais n’en font pas une kryptonite. Au contraire, ils s’appuient dessus pour sortir leur meilleur niveau dans les moments de tension. C’est ce qui fait souvent la différence entre eux et les autres.

Même principe pour le recadrage. S’il est mal effectué (en public) ou mal intentionné (pour » passer ses nerfs »), il peut provoquer de la honte, de la culpabilité ou une perte de confiance en soi (toxine), mais s’il est justifié, argumenté, constructif et donné dans l’intention de faire progresser, il aide à s’améliorer (vitamine). Ici, la capacité à accepter les critiques sera primordiale pour changer la toxine en vitamine.

Exemples de vitamines comme toxines

Consommer trop de vitamines produit l’effet inverse de celui recherché. Pour vous aider à comprendre ce phénomène, commençons par une vitamine externe : les félicitations. Dans notre vie personnelle et professionnelle, recevoir des louanges fait du bien. Cependant, malgré toute la bienveillance des compliments, ils ne doivent pas être distribués sans raison justifiée. S’ils ne reflètent pas la réalité ou sont donnés uniquement pour être sympa, ils peuvent conduire à leurrer la personne concernée sur ses véritables capacités. Ils deviennent donc nocifs.

Pour les vitamines internes, c’est pareil. Le dépassement de soi est un bon exemple. Tant que l’on reste dans la recherche de l’excellence, c’est une vitamine. Quand l’on bascule dans un perfectionnisme excessif, ça devient un poison. Idem pour la positivité. Voir le verre à moitié plein aide à avancer avec courage et résilience, à préserver sa santé physique et mentale, etc. En revanche, s’obliger à croire que le monde est rose devient problématique. Enfouir ses émotions négatives pour se plonger avec obsession dans un optimisme aveugle peut effectivement s’avérer dangereux. Au lieu d’apprendre à les accepter pour parvenir à les gérer et les évacuer, on les accumule intérieurement et on laisse finalement le venin couler dans ses veines.

Comment nourrir son corps, son esprit et ses émotions en vitamines plutôt qu’en toxines ?

Comment nourrir son corps, son esprit et ses émotions en vitamines plutôt qu’en toxines ?

Comme nous venons de le voir, il est parfois compliqué de faire la différence entre une vitamine et une toxine. Si l’on ne fait pas attention, la bascule se fait rapidement d’un côté ou de l’autre. Pour obtenir les bénéfices recherchés et éviter de s’empoisonner, tout sera donc une question d’équilibre et de subtilité. Dans cette optique, si vous souhaitez purifier votre corps, votre esprit et vos émotions, voici 4 conseils à suivre pour optimiser votre apport en vitamines et éliminer les toxines dans votre vie quotidienne :

  1. vous interroger et vous renseigner sur les bienfaits ou les méfaits de certains comportements, produits, aliments, environnements, etc. pour comprendre ce qui a des chances de vous booster chaque jour et ce qui risque de vous empoisonner l’existence ;
  2. apprendre à doser ce que vous faites, ce que vous consommez et ce que vous tolérez pour éviter de transformer un surplus de vitamine en toxine, ou au contraire réussir à changer une toxine en médicament ;
  3. faire des tests pour déterminer ce qui vous est profitable et ce qui vous est nuisible, mais également pour vous aider à trouver le bon dosage entre vitamines et toxines ;
  4. effectuer des bilans en vous demandant régulièrement « Est-ce bon pour moi ? » afin d’éviter de vous rendre compte trop tard que vous avez abusé d’une vitamine au point de la transformer en toxine.

Est-ce bon pour moi ? | Le mot de la fin

Cet article vous a plu ? Si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel. Si vous souhaitez être accompagné par un coach afin de clarifier ce qui est bon ou mauvais pour votre santé physique, mentale et émotionnelle, parlons-en directement ensemble ! Nous vous aiderons à faire le tri entre les vitamines qui vous maintiennent dans la bonne énergie et les toxines qui vous pourrissent la vie.

Rester motivé et garder le feu sacré : quelle stratégie adopter entre plan et routine ?

Rester motivé et garder le feu sacré : quelle stratégie adopter entre plan et routine ?

Vous avez pris de nouvelles bonnes résolutions ? Vous vous êtes lancé un défi ? Vous venez d’accepter une mission passionnante ? L’enthousiasme se lit alors probablement sur votre visage ! Tout le monde peut d’ailleurs voir l’étincelle de la motivation dans vos yeux. Mais comment conserver durablement cette excitation du début pour atteindre vos objectifs à long terme ? Pour ne pas perdre la flamme et toujours avoir envie de faire des efforts, certains vous diront de tout planifier. D’autres vous expliqueront qu’il faut absolument installer des routines. Enfin, on vous conseillera parfois simultanément la planification et les rituels. Alors, comment rester motivé ? Lisez cet article et vous comprendrez comment vous en sortir entre plan d’action et comportement routiniers pour garder le feu sacré !

Une étincelle de motivation qui va de pair avec la récompense promise

Se fixer des objectifs passionnants, c’est toujours motivant. Lorsque l’on s’engage dans un projet challengeant (se mettre à faire du sport, arrêter de fumer, maigrir, accélérer sa recherche d’emploi, prendre une mission, apprendre une langue étrangère, créer une entreprise, etc.), on ne se demande donc pas comment se motiver, on est déjà motivé. Dans un premier temps, la perspective de relever un défi excitant, d’obtenir un bénéfice utile ou un avantage intéressant, mais aussi parfois d’éviter un problème, va ainsi donner envie de se surpasser. C’est ce que l’on ressent notamment quand on décide d’aller faire de la musculation à la salle de sport pour perdre du poids ou sculpter son corps quelques semaines avant la plage.

Cet état d’esprit qui permet de rester motivé au début découle de ce que l’on appelle le circuit de la récompense. Le cerveau est tellement focalisé sur la gratification imaginée, l’accomplissement espéré ou la sanction à esquiver que le simple fait de visualiser le résultat attendu va booster la libération de neurotransmetteurs, dont la dopamine, connue comme étant l’hormone du bonheur. Concrètement, on ne voit que la finalité positive au moment de se lancer. Le processus motivationnel qui rend tout feu tout flamme est alors enclenché par le désir conscient d’obtenir une récompense, de prendre du plaisir ou d’éviter un malheur.

Planifier pour rester motivé une fois la flamme allumée : une technique redoutable, mais énergivore !

Planifier pour rester motivé une fois la flamme allumée : une technique redoutable, mais énergivore !

« Trouver n’est rien, c’est le plan qui est difficile. »

Fiodor Dostoïevski

Le problème avec l’euphorie du début, c’est que la redescente peut être brutale. Tant qu’on est sur son petit nuage, avoir l’envie et la ressource pour se mettre en mouvement n’est pas compliqué. On se sent plein d’énergie et on surfe facilement sur la courbe ascendante de la progression. En revanche, dès que les premières difficultés apparaissent et que les résultats stagnent, la réalité vient fracasser la dynamique. Alors que l’on s’imaginait déjà sur le toit du monde, on se rend compte qu’il va falloir bosser dur pour relever les challenges fixés et obtenir ce que l’on désire. Les promesses laissent place à du concret et être motivé n’est plus si naturel. Comme l’état d’esprit positif présent au démarrage est mis à rude épreuve, garder la flamme pour atteindre son objectif devient plus compliqué. Afin de rester motivé et de conserver son élan, un conseil revient donc souvent : construire un plan d’action strict.

Quelques exemples :

Pour préparer un marathon sans se décourager, il faudra y aller pas à pas en suivant des jalons clairs. Faire petit, mais faire :

  • acheter des chaussures de courses à pied ;
  • identifier un circuit d’entraînement ;
  • aller courir une première fois pendant 30 min ;
  • faire 2 sessions de 30 min par jour ;
  • augmenter progressivement la durée.

Pour monter une boite, ce sera :

  • trouver une idée ;
  • analyser le marché ;
  • valider son positionnement ;
  • construire un business plan ;
  • rechercher des financements ;
  • choisir un statut juridique ;
  • lancer son activité.

Alors oui, les avantages et les bénéfices de la planification sont nombreux. Définir des objectifs SMART (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis), lister les étapes clés et mettre en place une stratégie ficelée est d’ailleurs souvent présenté comme essentiel pour récolter le fruit de son travail sans procrastiner ni sortir de sa bulle motivationnelle. Cette méthode permet notamment :

  • de garder une ligne directrice pour tenir bon ;
  • d’avoir une meilleure visualisation sur son travail  ;
  • d’être mieux organisé et structuré pour rester concentré ;
  • de ne pas se laisser emporter par la démotivation liée à la réalité des difficultés du quotidien ;
  • d’évaluer ses progrès en temps réel pour se booster de manière continue et se récompenser à chaque étape passée ;

En revanche, le côté rigide et trop cadré a des limites pour se motiver à continuer. Généralement, plus votre défi sera compliqué à relever, plus votre plan d’action sera difficile à respecter. Très contraignant, il vous pompera beaucoup d’énergie et vous risquez de vous lasser, de ressentir une baisse de motivation, de perdre confiance en vous et de vous décourager face aux difficultés.

Des routines pour conserver une motivation à toute épreuve : garder le feu sacré passe par des rituels instinctifs !

Des routines pour conserver une motivation à toute épreuve : garder le feu sacré passe par des rituels instinctifs ! 

Afin de rester motivé à long terme, une technique permet réduire l’aspect énergivore de la planification : se construire des routines de travail… et d’hygiène de vie. Les habitudes sont effectivement des actions qui demandent moins d’efforts pour être réalisées. De par leur côté aussi mécanique que prendre sa douche ou se brosser les dents, elles n’ont pas besoin d’une source de motivation particulière, aident à faire les choses hors pensée et protègent des distractions.

Concrètement, on arrête de se demander si on doit faire. Pas d’excuses ni de procrastination, on fait, point ! Cette répétition instinctive permet ainsi d’éviter la surconsommation d’énergie mentale, physique et émotionnelle pour conserver le feu sacré durablement. Aujourd’hui, beaucoup vantent les bénéfices des routines du matin (aussi appelées morning routine) et des routines du soir (aussi appelées evening routine, night routine ou bedtime routine) pour garder la motivation intacte. Mais ces pratiques ne datent pas d’hier !

Quelques exemples :

Les grands écrivains et auteurs-compositeurs de musique adoptent des comportements routiniers depuis longtemps pour se créer une zone de confort, atteindre l’état de flow et rester motivés malgré les diffcultés,  lorsqu’ils rédigent un roman ou écrivent une chanson. Ernest Hemingway, Maya Angelou, Charles Aznavour, Jean-Jacques Goldman, etc. : tous ont mis en place des routines personnelles pour annihiler le manque de motivation au travail et atteindre leurs objectifs créatifs (commencer sa journée par des temps d’écriture, s’installer dans un cadre précis, s’accorder des pauses pour se régénérer, consacrer des moments à des activités physiques ou de détente active, etc.). Il s’agit là autant d’un moyen de se conditionner à atteindre un haut niveau d’efficience avec un minimum d’efforts.

C’est la même chose pour les plus grands sportifs. Rappelez-vous notamment de cette pub TV pour Volvic avec Zinédine Zidane qui se prépare avant un match de foot ? Celle où Zizou disait : « C’est toujours les mêmes gestes. D’abord la jambe gauche, toujours. Chaussette, chaussure. Puis la jambe droite. Et puis une gorgée de Volvic, toujours. » Ici, même s’il s’agit d’une campagne de communication à des fins marketing, le message reste fort sur la puissance des routines. La mécanisation de simples gestes de préparation devient un facteur majeur de la motivation et de la qualité durable des prestations du champion français. Des efforts réguliers et identiques qui aident nous mettre dans les meilleures dispositions pour produire de gros résultats, avec peu de consommation d’énergie mentale, voilà l’essence même des routines.

Rester motivé : le mot de la fin

Comment rester motivé ? Même si les plans d’action que vous faites seront utiles pour atteindre vos objectifs personnels ou tenir vos bonnes résolutions, ce sont vos routines qui vous permettront de garder le feu sacré pour persévérer tout au long du parcours. Tant qu’elles prouvent leur efficacité, vous ne devez donc jamais y déroger. En effet, plus elles seront non négociables, plus vous conserverez longtemps l’étincelle qui s’est allumée lorsque vous avez réussi à trouver la motivation de vous lancer un défi.

 

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Comment relâcher la pression ? | Apprendre à se décontracter pour gagner en performance

Comment relâcher la pression ? | Apprendre à se décontracter pour gagner en performance

Vous commettez des erreurs inhabituelles quand l’enjeu est élevé ? Vous perdez vos moyens et votre dextérité dès que les conséquences de l’échec deviennent lourdes ? Si c’est le cas, vos moments de sous-performance ne sont probablement pas liés à votre niveau intrinsèque. Vous craquez juste sous la pression d’une situation crispante, stressante, étouffante et inhibante.

En effet, alimentée par la peur, cette énergie négative est trop forte pour permettre d’atteindre le relâchement nécessaire au bon déroulement des opérations. Dès qu’elle se manifeste, le corps se contracte, l’esprit se brouille et les sentiments se mélangent pour finalement faire rater quelque chose qui aurait été réussi sans problème dans un contexte moins pesant.

Si vous voulez éviter le fiasco et rester efficace malgré la pression qui monte, vous devez donc trouver des solutions pour combattre le stress, évacuer vos tensions corporelles, réduire votre charge mentale et stabiliser vos émotions. Comment relâcher la pression ? Apprenez à vous décontracter correctement pour gagner en performance lorsque vous ressentez l’importance d’une action, le poids des responsabilités, l’urgence d’agir ou encore le risque d’une défaite !

Prendre conscience de son niveau de pression : la première étape vers le relâchement

Source de stress et d’angoisse, la mauvaise pression inhibe, étouffe et rend particulièrement tendu. Se nourrissant des peurs, elle détourne l’attention, brouille les idées, décuple les émotions négatives, bloque la créativité, diminue la prise d’initiative, réduit la motivation et perturbe les actions. Bref, faisant agir dans la panique, elle augmente la probabilité d’erreurs et le risque de sous-performance.

Dans l’univers sportif, c’est par exemple cette énergie pesante qui va provoquer une double faute sur balle de match en tennis ou un penalty crucial raté en football. À l’inverse, c’est son absence qui va aider un basketteur à enchaîner les paniers à trois points ou un biathlète à faire un sans-faute au tir. Mais avant d’évacuer la pression pour gagner en sérénité et en efficacité, il faut prendre du recul pour comprendre son fonctionnement. Il existe effectivement trois niveaux nuisibles à la réussite personnelle ou professionnelle. Analysons chacun d’entre eux.

1. La pression subie (ou la pression sociale)

Cette pression est exercée par des personnes extérieures (entourage, supérieurs hiérarchiques, clients, influenceurs, supporters, etc.). Elle donne l’impression d’être responsable de tout et de devoir participer à une course interminable à l’hyper performance. Pour s’en débarrasser, il est nécessaire de désamorcer le sentiment toxique de culpabilité et de sortir des tourbillons oppressants d’attentes démesurées.

Quelques solutions pour relâcher la pression subie :

2. La pression intégrée

Cette pression est exercée sur soi-même après avoir ancré trop longtemps une pression subie. Elle donne l’impression de toujours devoir être Superman. Pour s’en débarrasser, il est nécessaire de désamorcer la quête du perfectionnisme et de comprendre que le mieux est parfois l’ennemi du bien.

Quelques solutions pour relâcher la pression intégrée :

  • se libérer de ses peurs (être mauvais, ridicule, abandonné, ignoré, mal jugé, détesté, démasqué, déclassé, etc.) notamment en choisissant l’autodérision,
  • se défaire du regard des autres ;
  • apprendre à lâcher prise en arrêtant de tout vouloir contrôler et en délégant, par exemple,
  • être indulgent envers soi ;
  • se fixer des objectifs réalistes , c’est-à-dire moins ambitieux que d’habitude ;
  • se forcer à voir le verre à moitié plein en listant ce qui va bien ou ce qui est positif dans cette situation,

3. La pression projetée

Cette pression est exercée par soi-même sur les autres. Elle crispe les victimes. Pour s’en débarrasser, il est nécessaire de désamorcer la volonté de contrôle absolu sur les gens et d’accepter qu’on ne puisse pas maîtriser tous les événements.

Quelques solutions pour relâcher la pression projetée : 

  • travailler en profondeur sur sa peur de l’inconnu et se rappeler que nous avons déjà affronté avec succès des moments critiques ;
  • s’entourer de personnes fiables ;
  • apprendre à bien déléguer ;
  • faire progressivement confiance en commençant par des petites actions vers les autres.

L’acceptation, l’écoute de soi et la respiration : les trois phases pour relâcher la pression

On a beau apprendre à gérer son stress pour être plus zen, la pression peut se manifester à tout moment de la vie. C’est notamment le cas lors des situations imprévues. Ainsi, plus vous accepterez et conscientiserez cette réalité, plus vous serez prêt mentalement à relâcher la pression au bon moment. En effet, si vous restez dans le déni, la peur risque de vous pousser à contenir et subir. Et pourtant, le corps et la tête envoient toujours des signaux forts pour indiquer quand il faut rapidement évacuer. Fatigue persistante, migraines, douleurs physiques, troubles du sommeil, humeur changeante, isolement, incapacité à se concentrer, etc. : écoutez ces messages d’alerte sans attendre le burn-out pour réagir !

En ce sens, lorsque vous sentez une tension, une oppression ou une anxiété qui monte et vous empêche d’être à votre meilleur niveau de performance, votre premier réflexe doit être de RESPIRER. La respiration fait le lien entre le corps et l’esprit. Au sens propre, vous pouvez utiliser la technique de la cohérence cardiaque pour provoquer un relâchement musculaire, mental et émotionnel. Concrètement, inspirez 5 secondes par le nez et expirez 5 secondes par la bouche à la fois profondément et lentement. Recommencez ensuite ce cycle pendant 5 minutes. Au sens figuré, accordez-vous des pauses pour reprendre votre souffle et dégager les pensées négatives de votre tête.

Que faire pour se décontracter lorsque la pression rend moins performant ?

Certaines méthodes de décontraction sont particulièrement efficaces pour calmer son système nerveux, lutter contre le stress et relâcher la pression qui empêche d’être à son vrai niveau. Détaillons ces bonnes pratiques favorisant la détente mentale, physique et émotionnelle.

Les bonnes pratiques pour se détendre mentalement

Le relâchement mental est crucial pour se dépolluer des pensées pesantes, angoissantes et étouffantes qui nuisent à la performance. En libérant son esprit et en se créant des bulles de respiration, on parvient effectivement à s’aérer le cerveau pour être pleinement ancré dans l’instant présent. Pour relâcher la pression, vous pouvez donc notamment :

  • réduire votre charge mentale en priorisant vos actions, en ralentissant le rythme, en acceptant de lâcher prise sur certaines choses et en disant « stop » ou « non » aux activités qui vous mettent sous tension sans vous apporter de réels bénéfices ;
  • appuyer sur pause pour faire le vide dans votre tête. Par exemple, vous pouvez prétexter la fameuse « pause technique » quand vous êtes en entretien ou réunion et que la pression mentale est trop forte et qu’elle vous empêche de réfléchir. Profitez de cette coupure pour vous relâcher et respirer, comme sait si bien le faire Novak Djokovic !!!
  • trouver une activité sans enjeux compétitifs comme sas de décompression (sport, méditation, exercices de pleine conscience, lecture, écriture, peinture, musique, cuisine, etc.).

Les bonnes pratiques pour se détendre physiquement

Le relâchement physique est essentiel pour recharger les batteries, mais également pour se débarrasser des tensions corporelles et musculaires qui enrayent la mécanique lorsque l’on passe à l’action. Le fait de se relaxer permet ainsi de retrouver de la vitalité et de la souplesse physique pour continuer à performer sur la durée. Afin de vous décontracter pour évacuer la pression, vous pouvez donc par exemple :

  • réduire temporairement l’intensité et le volume de vos activités ;
  • prendre soin de votre corps (massage, étirement, bain, douche, etc.) ;
  • bien dormir et sanctuariser une ou deux soirées par semaines pour vous coucher plus tôt et ralentir le rythme.

Les bonnes pratiques pour se détendre émotionnellement

Le relâchement émotionnel est crucial pour rentrer dans un état de bien-être et d’équilibre propice à la performance. Le fait de libérer ses sentiments et ses émotions permet effectivement d’atteindre une meilleure stabilité intérieure pour s’apaiser, se recentrer, retrouver sa lucidité, se faire confiance, gagner en spontanéité, être moins hésitant et ne pas flancher dans les moments clés. Afin de relâcher la pression, pensez donc à :

  • rire, socialiser et pratiquer des activités qui vous font consciemment plaisir et qui vont donc libérer les endorphines (hormones du bonheur agissant comme un antistress naturel au pouvoir relaxant)  ;
  • dire ce que vous avez sur le cœur  ;
  • visualiser au maximum votre avenir en couleurs, vous projeter sur ce qui va arriver de positif et qui va vous faire plaisir dans l’avenir proche (une sortie, un voyage, un concert). Il s’agit de profiter avant. On doit aussi faire ça après, en en reparlant ou en regardant des photos;
  • prendre des power poses qui vous aideront à vous décrisper, à vous sentir fort, à réduire le stress et à prendre pleine possession de vos moyens ;
  • faire le ménage autour de vous (remettre de l’ordre dans votre environnement, écarter les personnes toxiques, etc.) pour évoluer dans un cadre propice aux émotions positives.

 

Cet article vous a plu ? Si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel. Besoin d’accompagnement ou de coaching pour relâcher la pression face au stress du quotidien  ? Parlons-en ensemble !

Comment être efficient ? | 4 leviers de management de soi pour obtenir plus avec moins d’efforts

Comment être efficient ? | 4 leviers de management de soi pour obtenir plus avec moins d’efforts

Vous accomplissez énormément de tâches au quotidien ? Vous parvenez à atteindre les objectifs grâce à cette immense productivité personnelle ? Même en étant efficace et fort comme Hercule, il est possible de se sentir débordé de travail, au point de ne plus pouvoir en faire plus pour arriver à ses fins sans s’épuiser inutilement. Vous ne devez donc pas attendre la saturation avant de commencer à optimiser vos efforts et maîtriser votre temps. Au risque de contredire un célèbre slogan de campagne présidentielle, vous n’avez pas forcément besoin de « travailler plus pour gagner plus ». Au lieu de vous infliger un agenda de ministre pour accroitre vos chances de succès, vous pouvez apprendre à réaliser vos actions avec brio… sans gaspiller vos trois batteries physique, mentale et émotionnelle. C’est là toute la différence entre l’efficacité et l’efficience.

Être efficace, c’est remplir ses missions par n’importe quel moyen. La finalité positive est le seul élément qui compte. Être efficient, c’est aboutir au meilleur résultat possible en dépensant un minimum d’énergie. Le but est d’économiser ses ressources sans perdre en rendement. On recherche donc un seuil de rentabilité pour rester productif et maximiser son efficacité, sans se mettre dans le rouge. Vous saisissez la subtilité et souhaitez devenir un super gestionnaire de vous-même ? Découvrez 4 leviers de management de soi pour atteindre une meilleure efficience… et obtenir plus avec moins d’efforts !

1. Optimiser son énergie pour obtenir plus en faisant moins d’efforts

Pour être efficient, la fin ne justifie pas les moyens. Il faut plutôt se dépenser de manière constructive. L’idée est de trouver la méthode qui permet d’atteindre ses objectifs avec succès, tout en gaspillant le moins d’énergie possible. En effet, lorsqu’on fait face à une problématique dans sa vie personnelle ou sa vie professionnelle, on a parfois tendance à s’acharner jusqu’à obtenir satisfaction. On met de l’huile de coude pour venir à bout de la difficulté et on se donne de la peine pour être plus efficace, mais l’entêtement et la course à la performance poussent souvent à faire des efforts qui alourdissent inutilement la charge de travail.

Même avec de l’efficacité au bout, le ratio entre l’énergie consommée et les résultats obtenus est alors mauvais. La question de l’efficience n’est donc pas réglée. Pour mieux optimiser l’utilisation de vos forces physiques, mentales et émotionnelles, prenez ainsi du recul sur vos capacités, sur vos ressources internes et externes, ainsi que sur la situation à laquelle vous êtes confronté. Par exemple, imaginez que vous essayez de décrasser une casserole brûlée. Si vous la frottez comme un fou pendant une heure, vous arriverez probablement à tout nettoyer, mais finirez surtout épuisé par vos efforts intenses.

En revanche, que se passera-t-il si vous mélangez un peu d’eau chaude, de liquide vaisselle et de bicarbonate de soude, laissez agir le temps que les résidus se décollent, puis revenez plus tard pour passer un coup d’éponge et rincer ? Eh bien, le processus sera plus long, mais vous aurez fourni maximum 15 minutes d’efforts légers pour relever le défi. Vous pourrez donc libérer votre emploi du temps et consacrer votre énergie à d’autres activités. Avec un tel niveau d’efficience, vous obtiendrez largement plus en faisant beaucoup moins.

2. Privilégier l’endurance à la vitesse pour être efficient sur la durée

Dans la société actuelle, nous avons tendance à penser que pour avoir plus, il faut aller vite. Il y a comme une règle tacite qui pousse à faire un maximum de choses en un minimum de temps pour être plus productif et plus efficace dans son travail. Eh oui, c’est bien connu : « le temps c’est de l’argent » ! Par conséquent, dès qu’on emprunte un chemin sécurisé, moins fatigant, mais plus long, on culpabilise de paraître à la traîne et de perdre un avantage potentiel. Bilan des courses : par souci de rapidité, on se fixe des échéances intenables, on bourrine coûte que coûte et on emprunte des raccourcis douteux qu’on ne maîtrise même pas. On finit alors par s’épuiser en faisant des efforts intenses pour un résultat acceptable.

Autant vous dire que considérer la vitesse comme l’un des indicateurs ultimes de la mesure de la performance conduit souvent à une totale inefficience. Plutôt que de gagner du temps, on en perd bêtement ! Face à ce constat, contenez votre impatience, privilégiez l’endurance au sprint et respirez au lieu de suffoquer sans cesse. Pour obtenir plus en fournissant moins d’efforts, acceptez de ralentir un peu le rythme en étalant votre dépense d’énergie. Soyez-en sûr : pour atteindre l’efficience, prendre son temps en misant sur des actions régulières de courte durée est un investissement rentable.

Par exemple, vous aurez plus de chance d’apprendre correctement une langue étrangère en vous exerçant 15 minutes par jour, qu’en suivant un mois intensif de cours. D’une part, la répétition régulière favorisera la mémorisation. D’autre part, le risque d’abandon sera minime en optant pour le petit effort journalier. De quoi être plus performant à long terme ! Enfin, n’oubliez pas de faire des pauses dans vos journées et de bien dormir pour récupérer. C’est important, car pour être efficient, il faut surtout avoir la forme dans les moments d’activité qui comptent. Bref, en réduisant la cadence, votre gestion du temps et des ressources utilisées sera meilleure pour travailler intelligemment.

3. Focaliser son attention sur les bonnes priorités pour gagner en efficience

Connaissez-vous la loi de Pareto ? Selon cette théorie, 20 % des actions produisent 80 % des résultats. Pour être efficient, il faut donc focaliser son attention sur les activités qui possèdent la plus grande valeur par rapport à ce que l’on vise. Afin de ne pas dilapider son énergie inutilement, il est ainsi primordial de fixer ses priorités en supprimant certaines tâches. Nous parlons de celles qui sont chronophages et n’apportent aucune création de valeur pertinente. Dans cette optique, voici trois bonnes pratiques à appliquer pour éviter toute confusion :

  1. définir ses objectifs de manière claire ;
  2. faire une liste de tâches précises à effectuer ;
  3. privilégiez l’important à l’urgent dans sa journée de travail (matrice d’Eisenhower).

Par ailleurs, pour ne pas diviser vos efforts cérébraux, apprenez à :

  • dire non aux sollicitations extérieures qui vous vampirisent ;
  • supprimer les sources de distractions ou d’interruptions présentes sur votre lieu de travail ;
  • lâcher le contrôle sur ce que vous ne maîtrisez pas ;
  • déléguer les urgences et les imprévus ;
  • ne jamais faire plusieurs choses en même temps.

En effet, à force d’avoir la tête partout, les personnes multitâches augmentent leur charge mentale et finissent par n’avoir l’esprit nulle part. Elles se perdent en voulant tout faire et sont donc moins performantes sur la durée. Frustrées et impuissantes, elles s’usent à petit feu, tendent vers la procrastination et peuvent même faire un burn-out. À l’inverse, celles qui savent prioriser, hiérarchiser et se concentrer sur une seule tâche à la fois en font moins, mais sont plus productives sans pour autant risquer leur santé au travail.

D’ailleurs, si vous voulez augmenter davantage votre degré d’efficience, regroupez au maximum les activités similaires pour ne pas fatiguer votre cerveau lorsqu’il est focus et restez logique dans votre planning pour être bien organisé. Par exemple, en gestion de projet, on termine les actions stratégiques et préparatoires qui demandent de la réflexion, avant de passer aux missions opérationnelles qui nécessitent de l’application. Cette organisation du travail permet de mieux gérer ses priorités pour réaliser des gains de productivité. À l’inverse, si l’on fait tout en même temps, on rame et on gaspille ses ressources.

4. Rester soi-même pour obtenir de meilleurs résultats sans s’efforcer

Si vous désirez être efficient pour obtenir plus en faisant moins d’efforts, restez vous-même au quotidien et ne poussez pas le perfectionnisme à outrance. En général, calculer pour masquer sa vraie nature et devenir ce que veulent les autres est très épuisant, sans apporter de réels bénéfices par rapport aux moyens mis en œuvre. Par exemple, si vous souhaitez adopter une posture de manager inspirant et apprécié, inutile de forcer le trait lourdement pour paraître séduisant, spirituel, drôle, etc.

Totalement contre-productive, cette attitude est inefficace et inefficiente. Elle ne renforcera donc pas votre leadership. Au contraire, en étant artificiel, votre comportement sonnera faux. Vous ne prendrez aucun plaisir et les gens finiront par le remarquer. En conséquence, vous vous userez bêtement pour un résultat inverse à celui escompté. Bref, pour devenir une personne efficiente, ne trichez pas. Relâchez-vous mentalement et émotionnellement, acceptez d’être imparfait, faites confiance à votre intuition et laissez les choses venir !

 

Cet article vous a plu ? Si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel. Si vous recherchez un accompagnement ou du coaching pour devenir un super-héros du quotidien efficace et efficient, parlons-en directement ensemble !

Comment se libérer des croyances limitantes pour enfin sauter le pas ?

Comment se libérer des croyances limitantes pour enfin sauter le pas ?

Votre système de croyances peut-il vous barrer la route du succès ? Si vous laissez de fausses certitudes contrôler votre esprit, un cercle vicieux fait de doute, de pessimisme, de paranoïa et de manque de confiance risque de s’installer dans votre tête. La réponse est donc oui !

Par définition, une croyance limitante ou limitative est une idée préconçue suffisamment enracinée dans l’inconscient d’un individu pour brouiller sa perception de la réalité et l’empêcher de passer à l’action. Lorsqu’on essaye d’aller à son encontre, cette intime conviction paralyse et rend timide. Généralement, la pensée bloquante se matérialise par des phrases irrationnelles comme : « Je n’ai pas assez de temps, d’argent, de compétences, etc. » ou encore « Impossible, c’est seulement réservé aux hommes, aux riches, aux personnes valides, etc. ». Freinant l’estime de soi, l’épanouissement, l’accomplissement et la réalisation de soi, elle nuit donc aussi bien à la vie personnelle que professionnelle.

Vous être enfermé dans ce genre de prison mentale et avez l’impression que vous ne serez jamais à la hauteur de vos ambitions ? Découvrez comment se libérer des croyances limitantes pour sauter le pas et avancer vers la réussite !

Étape 1. Identifier ses croyances limitantes pour prendre conscience de ses blocages

Pour se libérer des croyances limitantes, la première étape est de les identifier et de noter les excuses utilisées pour justifier l’inaction. Généralement, les spécialistes de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique) classent les pensées négatives bloquantes en trois catégories :

  1. celles qui créent du désespoir ➠ vous êtes convaincu que vous ne pouvez rien faire, que la situation est inéluctable, qu’une catastrophe va se produire, etc. ;
  2. celles qui donnent un sentiment d’impuissance ➠ vous êtes persuadé que vous n’avez pas le bon profil, que vous manquez de talent, que vous ne pouvez pas plaire, que vous n’avez pas suffisamment de leadership, etc. ;
  3. celles qui encouragent la dévalorisation de soi ➠ vous êtes sûr que vos succès sont dus à la chance, que vos échecs sont programmés, que vous ne méritez pas de réussir, etc.

Toutes ces fausses certitudes sont souvent formulées comme des évidences, des généralités catégoriques ou des hypothèses négatives. Pour les débusquer, repérez donc les phrases dans lesquelles vous employez des mots ou des expressions comme :

  • ne… pas ;
  • jamais ;
  • aucun ;
  • trop ;
  • personne ;
  • toujours ;
  • à chaque fois ;
  • tout le monde ;
  • impossible ;
  • si seulement ;
  • mais ;
  • et si… ;
  • etc.

Étape 2. Comprendre la source de ses fausses croyances pour réduire ses freins psychologiques

Comprendre la source de ses fausses croyances pour réduire ses freins psychologiques

La deuxième étape pour vous défaire de l’emprise de vos croyances limitantes est de comprendre leur point de départ. Alors, creusez dans votre passé pour trouver ce qui vous a poussé à accorder une valeur de vérité absolue à une fausse idée. Sur quoi reposent vos pensées bloquantes ? Comment se sont-elles incrustées dans votre tête pour créer des schémas mentaux restrictifs ?

Les croyances limitantes nées d’un traumatisme

La source d’une pensée limitante peut être un traumatisme (divorce, accident, licenciement, défaite, etc.) que vous craignez de revivre. Pour vous protéger du mal-être de vos expériences passées, vous avez alors cultivé des croyances irrationnelles, d’où le blocage mental et les comportements d’autosabotage comme :

  • le perfectionnisme ;
  • la procrastination ;
  • la résignation ;
  • la victimisation ;
  • la peur de gagner,
  • le syndrome de l’imposteur ;
  • la difficulté à faire confiance ;
  • etc.

Dans ce cas, plus vous éclaircirez la racine du problème, plus vous pourrez travailler pour réduire vos freins psychologiques.

Les fausses croyances profondes forgées par un long conditionnement

Un conditionnement à long terme (éducation, appartenance à un groupe, stéréotypes répandus, harcèlement, etc.) peut inconsciemment avoir forgé vos certitudes immobilisantes. Par exemple, une femme qui n’a pas fait d’études aura du mal à envisager une belle carrière dans un secteur à dominance masculine si on lui a rabâché ces deux phrases durant son enfance :

  1. « Tu ne pourras pas t’en sortir dans la vie sans diplômes. »
  2. « Laisse tes frères jouer au foot, ce n’est pas un sport pour les filles. »

Par contre, si elle comprend que son entourage a fortement influencé son schéma de pensée, sa personnalité, ses intuitions et sa vision du monde, elle pourra remettre en cause les croyances limitantes qui l’empêchent d’avancer.

Étape 3. Déconstruire ses croyances limitantes pour s’ouvrir un nouveau champ des possibles

Même si les croyances limitantes sont profondément ancrées dans le cerveau pour pousser au renoncement, il est possible de les déconstruire après les avoir débusquées et compris d’où elles proviennent. C’est la troisième étape.

Mettre en lumière des contre-exemples pour neutraliser les croyances limitantes

Pour réaliser que vos croyances ne reflètent pas la vérité, allez à leur encontre et validez leur inexactitude en trouvant des faits qui les contredisent. Plus vous regrouperez de preuves remettant en cause vos pensées bloquantes, plus vous changerez votre niveau de conscience pour comprendre que beaucoup d’idées handicapantes sont le fruit de votre imagination. Ainsi, les contre-exemples identifiés vous aideront à renforcer votre intelligence émotionnelle et vous serviront de parades pour faire la part de choses dans les moments de doute.

Trouver des modèles inspirants pour casser les idées préconçues

Pour se défaire des croyances limitantes, il est efficace de s’identifier à une personne qui a connu le succès en brisant les idées préconçues. En trouvant un modèle inspirant, vous aurez un mentor qui vous donnera une raison d’y croire, plus de confiance en vous et un chemin à suivre pour sauter le pas. Un peu comme le Professeur X qui façonne l’état d’esprit des X-Men pour qu’ils atteignent leur plein potentiel !

Étape 4. Reprogrammer son mental pour se construire des schémas de pensées aidants

La quatrième étape pour se débarrasser des croyances limitantes est de reprogrammer son mental et de se reconditionner positivement en remplaçant les idées paralysantes par des pensées aidantes.

Visualiser un avenir rayonnant dépollué des croyances irrationnelles

Plus vous remplirez votre tête de positivisme et d’optimisme, plus vous aurez de facilité à avancer pour être heureux dans la vie. Ainsi, quand vous vous sentez inhibé par vos pensées, visualisez le futur rayonnant que vous pouvez atteindre en annihilant vos croyances restrictives. Voyez les portes de succès que cela vous ouvrira et imaginez-vous en train de réussir. Sur le plan mental, votre volonté et votre motivation augmenteront.

Utiliser la méthode Coué pour faire taire les croyances irréalistes

La méthode Coué est une technique de pensée positive par l’autosuggestion. Le but est de transformer les croyances limitantes en se répétant l’affirmation positive inverse. Par exemple, vous pouvez reformuler : « Je ne suis pas assez bon… » en « Je suis parfaitement capable… » ou « Je suis trop vieux… » en « J’ai plus de maturité… ». Ce travail sur soi est redoutable pour faire taire chaque petite voix paralysante dans la tête, car plus l’on grave une idée dans son esprit, plus elle tend à devenir réelle. C’est le principe de la prophétie autoréalisatrice où le subconscient fait adopter des comportements en fonction de la prédiction. Bref, faites comme si pour créer de nouvelles croyances !

Étape 5. Sortir de sa zone de confort pour complètement se libérer des croyances limitantes

Sortir de sa zone de confort pour complètement se libérer des croyances limitantes

La dernière étape pour éliminer les croyances limitantes est de sortir de sa zone de confort. Le passage à l’action est la seule thérapie qui vous confirmera que vous avez vraiment franchi un cap pour aller de l’avant. Ainsi, fixez-vous de petits objectifs en vous demandant comment faire pour y arriver… malgré l’élément que vous imaginez handicapant.

Dès que vous êtes prêt, osez faire le premier pas sans vous retenir. Si vous réussissez, vos convictions bloquantes s’estomperont. Plus confiant, vous pourrez donc dépasser vos limites pour vous épanouir. Si vous échouez, c’est juste de l’apprentissage. Alors, inutile de lâcher prise ! La prochaine fois sera meilleure. Briser votre plafond de verre peut prendre du temps. Pour y arriver, gardez simplement en tête cette phrase de Samuel Beckett : « Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Échoue encore. Échoue mieux. »

 

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Par où commencer ? Et si la réponse était juste de continuer…

Par où commencer ? Et si la réponse était juste de continuer…

Vous venez de finir un projet, vous êtes à l’arrêt et vous vous demandez quoi faire ensuite ? Ce genre de situation arrive régulièrement et peut vite devenir un casse-tête. Pour remplir le vide que vous ressentez, vous allez alors rapidement essayer de trouver une nouvelle activité. Et la première question qui vous viendra à l’esprit sera « par où commencer ? ». Cependant, comme vous avez passé énormément de temps focalisé sur vos actions précédentes, vous avez probablement oublié qu’il y a un tas de projets que vous avez déjà démarrés sans jamais être allé au bout. Trop concentré sur l’instant présent, votre cerveau a juste zappé. Maintenant, si vous réfléchissez un peu, vous vous rendrez compte qu’au lieu de vous lancer dans l’inconnu, vous pouvez très bien repartir sur de l’existant et poursuivre ce qui a été inachevé. Alors, pensez-y : et si vous commenciez simplement par continuer ce que vous n’avez pas encore terminé ?

Vider sa tête par écrit pour identifier ce qui n’a jamais été achevé : le meilleur moyen de trouver par où commencer !

Quand vous ne savez pas exactement dans quoi vous lancer, deux approches peuvent vous aider à débloquer la situation. La première est de vous creuser les méninges pour identifier une nouvelle activité. Le problème de cette option, c’est que si vous partez de zéro, le démarrage sera compliqué. La mise en route est la partie la plus difficile de toute action. Cela ne signifie pas que vous devez abandonner sans essayer. Vous devez seulement être conscient qu’il faudra vous accrocher d’entrée. Ce constat nous amène à la deuxième méthode pour trouver par où commencer. Puisque faire le premier pas est l’étape la plus dure, une bonne solution est de réfléchir à ce que vous avez déjà entamé et de vous vider la tête en mettant tout par écrit.

En effet, nous passons notre temps à commencer des choses sans jamais les finir. Honnêtement, combien de projets avez-vous reportés ou débutés sans aller au bout par manque de temps, d’envie, de moyen, etc. ? En couchant la liste noir sur blanc, vous éclaircirez votre esprit et comprendrez qu’au lieu de rechercher absolument la nouveauté, il sera sûrement plus facile de revenir sur ce que vous avez délaissé. La question ne sera alors plus de démarrer dans l’inconnu, mais de redémarrer en vous appuyant sur de l’existant. Pour faire un parallèle, il est toujours plus simple d’innover que d’inventer.

Vider sa tête par écrit pour identifier ce qui n’a jamais été achevé : le meilleur moyen de trouver par où commencer !

D’ailleurs, pour vous aider à relancer la machine quand vous en aurez besoin, garder une trace des tâches inachevées sera essentiel, car cela vous permettra de ne rien oublier. Ainsi, pensez désormais à systématiquement noter et répertorier ce que vous commencez, même si vous n’avez pas beaucoup avancé. Tant que la première pierre est posée, il vous suffira de reprendre où vous en êtes et de continuer le travail que vous aviez mis en stand-by. Un peu comme Yannick Noah, qui après avoir été un grand champion de tennis, s’est tourné vers un projet qu’il avait entamé sans pouvoir s’y consacrer pleinement durant sa carrière sportive : la musique. Comme vous le savez sûrement, il a alors rapidement multiplié les tubes pour devenir un chanteur à succès.

Ce qui doit être fait ou ce qu’on veut vraiment faire : par quoi commencer ?

Vous avez réalisé la liste des projets que vous avez entamés sans être allé au bout ? Ces derniers sont clairs dans votre esprit ? Alors, il y a de grandes chances qu’ils puissent être séparés en deux catégories : ceux qui doivent être terminés et ceux que vous avez envie de finir. Et là, un autre dilemme se pose : par quoi commencer parmi toutes ces activités inachevées ? Évidemment, si vous avez identifié une tâche importante, urgente, plaisante et gratifiante, c’est vers celle-ci que vous allez vous lancer, puisqu’elle est primordiale et motivante. Pour faire le choix entre l’important et l’urgent, vous pouvez notamment vous aider de la célèbre matrice d’Eisenhower en priorisant de la sorte :

  1. les tâches importantes et urgentes ;
  2. les tâches importantes, mais non urgentes ;
  3. les tâches non importantes, mais urgentes ;
  4. les tâches non importantes et non urgentes.

Maintenant, que faire si parmi ce que vous avez mis en stand-by, vous avez à la fois des obligations encombrantes qui traînent et des projets oubliés excitants mais moins essentiels ? S’il n’y a pas de caractère d’urgence, vous pouvez encore reporter les activités fastidieuses, mais vous devrez vous y coller tôt ou tard pour finir le travail. Honnêtement, si vous ne pouvez pas déléguer ce genre de tâches et qu’elles sont réellement importantes, le mieux est de commencer par les terminer pour vous libérer l’esprit. Vous pourrez ensuite vous focaliser pleinement sur les actions qui vous boostent vraiment…sans devoir couper votre élan pour gérer des corvées.

Comment relancer la machine pour finir ce qu’on a mis en stand-by ?

Comme expliqué précédemment, quand on se demande par où commencer, il est généralement plus facile de revenir sur une activité inachevée pour finir le travail que de partir sur un projet totalement nouveau. En revanche, si redémarrer ce qu’on a mis en stand-by est moins compliqué, car le premier pas a déjà été fait, personne n’a dit que relancer la machine est simple. Si l’on a appuyé sur pause depuis un bon moment, il faut remonter en selle, reprendre ses marques et se remettre dans le bain avant de pouvoir se laisser glisser. Alors, comment faire pour repartir quand on est à l’arrêt depuis longtemps ? Tout d’abord, inutile de vouloir se précipiter pour aller aussi vite que Flash ! Et puis, pas la peine de paniquer ! N’oubliez pas que vous êtes sur de l’existant et non de l’inconnu.

Comment relancer la machine pour finir ce qu’on a mis en stand-by ?

Pour continuer ce que vous avez entamé dans le passé, replongez donc progressivement dans votre projet pour vous souvenir de vos objectifs initiaux, comprendre ce que vous avez déjà fait, vous rappeler pourquoi vous avez fait tel choix, etc. Finalement, vous devez essayer de reprendre petit à petit le fil de votre pensée et récupérer la logique de vos actions pour retrouver vos sensations. Ensuite, comme de l’eau a coulé sous les ponts, il se peut que le contexte actuel ne soit plus tout à fait le même qu’à l’époque où vous vous étiez lancé pour la première fois. Par conséquent, il faut que vous preniez également le temps de rééquilibrer les choses pour les adapter à la situation d’aujourd’hui. C’est en faisant tout ce travail que vous vous mettrez correctement en mouvement.

Par où commencer ? | le mot de la fin

Vous l’avez désormais compris : quand vous souhaitez passer à autre chose et cherchez par où commencer, la réponse est souvent sous vos yeux. Elle se trouve généralement parmi les activités que vous avez déjà entamées sans les finir. Bref, au lieu de vouloir partir de zéro sur de l’inconnu, il sera parfois plus judicieux de vous focaliser sur l’existant et de continuer ce que vous n’avez pas encore achevé. Alors, faites le point sur tout ce que vous avez démarré dans le passé sans jamais être allé au bout. Pour prioriser les tâches à poursuivre, interrogez-vous ensuite sur ce qui doit être fait et ce que vous voulez vraiment faire. Enfin, il vous restera à suivre les conseils donnés précédemment pour relancer la machine avec brio.

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Lâcher Prise ou Tenir Bon : Quelle est la Meilleure Décision ?

Lâcher Prise ou Tenir Bon : Quelle est la Meilleure Décision ?

Vous vous êtes fixé des objectifs clairs à atteindre ? C’est très bien ! Savoir exactement ce que vous visez est indispensable pour vous amener vers la situation dont vous rêvez. Cependant, vous devez éviter de tomber dans l’obsession. Ce mauvais comportement peut facilement vous empêcher de vous rendre compte que vous avez atteint vos limites ou que votre plan d’action est inefficace. Finalement, vous risquez même de manquer de lucidité pour comprendre quand persister et quand dire stop. Plutôt inquiétant, non ? C’est pourquoi apprendre à identifier les moments où il est temps d’arrêter de s’acharner et ceux où l’on peut encore insister est absolument primordial dans la vie. Lâcher prise ou tenir bon ? Lisez attentivement cet article pour faire le meilleur choix face à ce grand dilemme !

Lâcher prise ou tenir bon : deux attitudes diamétralement opposées

Vous n’arrivez pas à atteindre vos objectifs ? Cette situation vous préoccupe de plus en plus ? Au bout d’un moment, vous devrez vous décider : lâcher prise ou tenir bon. Il est donc nécessaire de bien comprendre ce que signifient réellement ces deux attitudes diamétralement opposées.

Lâcher prise : l’art de savoir se dire stop au bon moment

Concrètement, lâcher prise veut dire cesser de s’accrocher coûte que coûte à une situation, une personne, un objectif, un concept ou n’importe quel autre élément. Simple en apparence, cette action est néanmoins difficile à mettre en place. En effet, lorsque nous avons une idée fixe, il devient très compliqué :

  • de se laisser aller ;
  • de vivre l’instant présent ;
  • de renoncer à sa volonté de tout maîtriser ;
  • d’accepter de ne pas avoir le contrôle absolu.

Seulement, voilà : savoir se dire stop, ce n’est pas uniquement admettre qu’il est grand temps d’arrêter de s’obstiner. C’est également se rendre à l’évidence que nous sommes allées au bout de nous-mêmes et qu’il vaut mieux privilégier notre santé, notre intégrité et notre liberté pour être beaucoup plus épanoui. Bref, c’est l’art de prendre au bon moment une sage décision : celle de ne surtout pas se mettre dans une situation critique.

En revanche, lâcher prise ne veut pas forcément dire abandonner ou perdre. Parfois, pour éviter de foncer droit dans le mur, il faut simplement cesser de s’acharner afin de se ressourcer, retrouver ses esprits et éclaircir ses idées. Cette démarche permet :

  • d’analyser ses erreurs ;
  • de comprendre ses points forts ;
  • de voir les choses sous un nouvel angle ;
  • de réajuster sa stratégie.

En matière de développement personnel, cette méthode est donc complètement positive !

Tenir bon : la force de persévérer malgré les obstacles

« Ne lâche rien ! », « Vas-y, insiste ! », « Ne craque surtout pas ! » : à force d’entendre ce genre de phrases au quotidien, nous sommes conditionnés pour ne jamais abandonner. Comme Superman ou Captain America, nous finissons alors par nous montrer hautement exigeants envers nous-mêmes. Nous pouvons d’ailleurs en venir à nous imposer une ligne de conduite extrêmement stricte.

Si l’on rajoute toutes les histoires de personnes qui ont réussi à devenir des références dans leur domaine malgré plusieurs échecs (Thomas Edison, Walt Disney, J.K. Rowling, etc.), tenir bon apparaît comme une tactique gagnante dans la vie. Et c’est vrai ! La résilience et la persévérance sont des super-pouvoirs particulièrement utiles pour surmonter les obstacles qui se dressent sur notre chemin.

Néanmoins, il est nécessaire de ne pas confondre ces notions avec le mauvais acharnement qui consiste juste à s’obstiner en fonçant tête baissée. Si vous voulez vous accrocher malgré les difficultés, vous devez le faire correctement pour ne pas perdre le sens des réalités. Comment ? En gardant votre objectif à l’esprit, mais surtout en apprenant de vos erreurs pour éviter de les répéter, car soyons clairs : les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets.

Comment trouver son équilibre entre lâcher prise et tenir bon ?

Lâcher prise ou tenir bon ? Quel dilemme ! Comme nous l’avons vu précédemment, la ténacité sera parfois une stratégie payante. Mais, dans certaines situations, vous aurez bien plus à gagner en arrêtant de vous acharner. Finalement, c’est juste une question d’équilibre ! À quel moment est-il primordial de savoir se dire stop ? Quand faut-il plutôt continuer d’essayer ? Décryptage.

Apprendre à lâcher prise : quand faut-il absolument arrêter de s’acharner ?

« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. »

Albert Einstein

Eh oui ! Au bout de combien de tentatives ratées devez-vous arrêter les frais ? À partir de combien de temps avez-vous intérêt à laisser tomber un projet si vous n’y arrivez pas ? Difficile à évaluer, n’est-ce pas ? Pour ne pas sombrer dans les abus, vous pouvez évidemment installer des limites à ne jamais dépasser. Par exemple, si vous êtes commercial et que vous tentez de contacter un client potentiel, définir un nombre de relances maximum peut être utile pour ne pas gaspiller votre temps sur ce dernier, car beaucoup d’autres vous attendent probablement.

Mais, en dehors de certains cas, la décision de lâcher prise n’est pas vraiment une affaire de mathématiques. C’est surtout une question de bien-être et de respect de soi ! Pour vous aider à comprendre tout cela, voici les principaux contextes où vous devez absolument savoir vous dire stop :

  • Vous allez à l’encontre de vos convictions ? Vous sentez que vous forcez beaucoup trop ? Vous êtes épuisé après avoir fait tout votre possible ? Vous êtes particulièrement mal à l’aise ? Donnez le coup de sifflet final à chaque fois que votre santé physique ou mentale est mise en péril !
  • Vous répétez les mêmes schémas sans savoir pourquoi ? Vous faites des choses uniquement par habitude ? Vous ne comprenez pas le sens de vos actions ? Vous ne prenez aucun plaisir ? Ne soyez pas fou, arrêtez-vous au moins pour analyser le problème !
  • Vous n’avez aucun contrôle sur la situation ? Vous êtes dépendant d’une autre personne pour avancer ? Inutile d’insister ! Par exemple, ça ne sert à rien d’actualiser votre boîte mail toutes les 30 secondes lorsque vous attendez un message.

Développer sa capacité à tenir bon : quand faut-il faire preuve de ténacité ?

« J’ai raté 9 000 tirs dans ma carrière. J’ai perdu presque 300 matchs. 26 fois, on m’a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j’ai raté. J’ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c’est pourquoi je réussis. »

Michael Jordan

Bien évidemment, il existe certaines situations vitales qui nous obligent à devoir tenir bon. Mais, en dehors de ces cas extrêmes, nous nous accrochons aussi quelquefois à des objectifs personnels, des idées fortes ou des convictions intimes pour avancer. C’est avec cette ténacité que Michael Jordan est devenu un tel champion. Eh oui ! Au lycée, l’Américain était considéré comme « trop petit » pour intégrer l’équipe de basketball. Grâce à sa persévérance, il est aujourd’hui reconnu par les observateurs comme étant le meilleur joueur de l’histoire de son sport et l’un des plus grands athlètes de tous les temps.

Néanmoins, comme nous l’avons vu précédemment, l’acharnement n’est pas toujours la solution adéquate. Lâcher prise ou tenir bon : pourquoi Michael Jordan a-t-il donc choisi la voie de l’obstination ? La réponse est assez simple : parce qu’il était extrêmement passionné ! Aimer ce que l’on fait est assurément l’une des sensations les plus puissantes pour entretenir correctement sa capacité à tenir bon. Par conséquent, dès que vous êtes habité par ce merveilleux sentiment, vous pouvez décider de persister.

En effet, si vous prenez du plaisir en essayant d’accomplir quelque chose, vous arriverez à voir l’échec comme une manière de vous améliorer. Vous ne forcerez plus et deviendrez moins frustré par vos erreurs. Bref, vous serez en parfaite harmonie avec vous-même ! Le chemin vers le succès vous semblera d’ailleurs plus fluide : vous essayez, vous vous trompez, vous apprenez, vous progressez. Tout cela, jusqu’au moment où vous atteignez votre but !

Lâcher prise ou tenir bon : le mot de la fin

Lâcher prise ou tenir bon ? Vous l’avez désormais compris : les deux options peuvent permettre de s’épanouir dans la vie. Parfois, vous devrez arrêter de vous acharner pour favoriser votre bien-être. Si vous prenez du plaisir, vous pourrez néanmoins vous accrocher pour atteindre vos rêves. Finalement, il n’y a pas de côté obscur. La clé, c’est simplement de savoir s’écouter pour trouver son équilibre !

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