“Quand tout semble aller contre vous, rappelez-vous que l’avion décolle contre le vent, pas avec lui.” Henry Ford

En proie à ses émotions, l’homme peut se méprendre sur la réalité de sa situation. Il lui faut savoir distinguer ce qui le porte de ce qui l’affaiblit. Cet exemple nous montre à quel point la méconnaissance peut altérer notre jugement et notre capacité à avancer. Seul ce moment d’analyse lui permettra d’être lucide sur les conditions à adopter pour parvenir à ses objectifs.

S’épanouir personnellement ou professionnellement ne peut se faire qu’en connaissance des causes – parfois inattendues – qui y amènent. L’adversité, l’échec, les imprévus font partie intégrante du parcours entrepris et de la réussite espérée.

« Nous craignons et vénérons ce que notre esprit ne comprend pas. » Alice Walker

La crainte naît du regard posé sur ce que l’on s’imagine comme étant un danger ou un mal potentiel. Opposée à la rationalité d’une connaissance avérée, elle se ressent face à l’imprévu, l’inconnu, l’insaisissable. La vénération, elle, n’est pas plus sensée que la crainte mais peut, à la différence, engendrer un état dans lequel l’homme peut se complaire.

En effet, l’homme peut choisir une vie dans laquelle le méconnu le satisfait, voire le rend heureux. Difficile d’en dire de même pour la crainte qui ne semble alimenter que les doutes et les inquiétudes. Dans les deux cas cependant, l’esprit est déstabilisé par des sources d’incompréhension. Et quand l’on ne sait pas, deux issues s’offrent à nous : chercher à savoir ou préférer rester ignorant.

« Si vous n’aimez pas quelque chose, changez-le; si vous ne pouvez pas le changer, changez votre façon de penser. » Mary Engelbreit

Sommes-nous condamnés à être d’éternels insatisfaits ? Non, à condition de savoir conjuguer ensemble affection et action. Il est possible d’avoir une marge de manoeuvre sur le cours des événements et de rendre une situation plus conforme à nos attentes. Mais dans le cas contraire, que faire ?

Lorsque nous sommes pieds et poings liés face à l’inaltérable, il faut s’en remettre à ce qui dépend de nous : notre liberté de penser. En sachant changer son regard sur l’état des choses plutôt que les choses en elle-même, la frustration s’éloigne et le contentement est à portée de main.

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